Parole, parole

 

( sur l’air de :  « La complainte des filles de joie » de Brassens ; Mars 2004 )

 

 

Bien que tous ces politiciens (bis)

Se disent de bons citoyens (bis)

C’est bien tous les jours qu’ils nous vo-o-lent

Paro-o-le, paro-o-le,

C’est bien tous les jours qu’ils nous vo-o-lent

 

Regardez donc les 35 heures (bis)

Moins de travail, ce n’est qu’un leurre (bis)

Car les heur’s sup c’est pour nos fio-o-les

Paro-o-le, paro-o-le,

Car les heur’s sup c’est pour nos fio-o-les

 

Paraît qu’ils baissent les impôts (bis)

Mais rajoutent des taxes à gogo (bis)

Et c’est toujours nous qu’on s’y co-o-lle

Paro-o-le, paro-o-le,

Et c’est toujours nous qu’on s’y co-o-lle

 

L’économie doit refleurir (bis)

Les patrons toujours s’enrichir (bis)

Mais pour les emplois ça s’étio-o-le

Paro-o-le, paro-o-le,

Mais pour les emplois ça s’étio-o-le

 

Ils licencient à tour de bras (bis)

Pour faire leur beurre au Shrilanka  (bis)

On chôme pendant qu’ils batifo-o-lent

Paro-o-le, paro-o-le,

On chôme pendant qu’ils batifo-o-lent

 

Sarko, Sellière, bande de fripouilles (bis)

Qui ne savent que vider nos fouilles  (bis)

Bientôt ça s’ra vous qu’on immo-ole

Paro-o-le, paro-o-le,

Bientôt ça s’ra vous qu’on immo-ole